Un jour, j'en suis même venue à la mutilation.

Publié le par Emy

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Et même maintenant que tout ce que tu faisait subir aux autres s'est retourné contre toi, j'ai l'impression que tu t'en fiches, que tu ne mesures pas les choses. C'est aussi une preuve de force d'esprit. Je ne sais même plus si je dois t'adorer ou te haïr. Mais tu ne te rends même pas conte que tu fais souffrir les gens qui sont sur ton chemin.

Et moi, je suis bêtement tombée dans ton jeu - piège, à vrai dire - , j'ai tout pris de plein fouet. Eux aussi, il ont subit la même chose. Mais contrairement à "eux", que tu va forcer à se réconcilier avec toi même, ma blessure est vieille, pourrie, très mal cicatrisée. Plus personne ne peut me sauver de cet mer de souffrance dans laquelle je me noie, où la vie n'est plus qu'une lutte vaine et continuelle pour garder la tête hors de l'eau à chaque minute, pour ne pas se laisser engloutir par les flots de tristesse, par ces eaux noires et profondes qui devorent tout. A cause de toi, je porte ce virus en moi, cette chose qui m'assassine chaque jour un peu plus, qui me tue, qui me tue, qui n'existe pas réellement mais qui me tue quand même.

 

" PUTAIN CE QUE J'AI MAL. PUTAIN CE QUE J'AIMERAIS VOUS LE GUEULER. PUTAIN DE SOLITUDE, DE TRISTESSE ET DE DOULEUR. JE VOUS HAIS, VOUS ET VOTRE MONDE DE MENSONGES OU PERSONNE N'AFFICHE CE QU'IL EST REELLEMENT. "

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